Métro
aérien Barbès Belleville à l'aube. Rien de tel pour
replonger dans "la mère du printemps" de notre ami Driss.
J'entends des murmures qui me rappellent un fakir tidjani balbutiant ses
prières. la voiture était pourtant vide me semble-t-il.
Je ne me suis pas retourné. Rien à dire, rien à prouver,
rien à offrir, rien à attendre. Je ne décroche pas
de la narration de Driss
du rêve de Oqba ibn Nafi d’"ensemencer les hommes et
la terre des homes avec les graines de Dieu". Garamud ! "on n' est jamais aussi imaginatif que pour se masturber" " on
n'est jamais aussi imaginatif que pour se masturber. On n'est jamais aussi
imaginatif ...". Une question m'obsède et déprime ma psychanalyste
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